Beaubourg 2009.

Une jolie petite auto se gare à côté de moi dans ce parking sombre et coloré à la fois.
Une femme d'un certain âge est assise à l'intérieur de celle-ci et fume une cigarette, je dois dire que je ne fume plus.
Elle coupe le moteur et fouille dans son sac à main.

Je suis dans mon camion en hauteur par rapport à elle donc, elle ne peut me voir, je suis avec le pantalon baissé sur les chevilles, en train de m'astiquer la queue depuis un petit moment.

 E n effet, un ami m’a prêté un petit lecteur divx  pour les fois où je m'ennuie.
Je me branle en regardant un film porno de médiocre qualité je dois dire, j'ai la bite à moitié dure.....

Mais l'envie est là, je l'observe dans sa voiture, je regarde sa bouche qui happe cette cigarette. J'imagine celle-ci sur mon braquemart, ma queue se met à grossir de plus en plus. Elle me fait envie cette femme mature.

Elle jette sa cigarette par la fenêtre, elle est là, à quelques mètres de moi, un décolleté laisse apparaître une forte poitrine, ses mains restent hors de vue, il fait sombre.

Puis tout d'un coup, l'intérieur de sa voiture s'éclaire, je la vois bien fouiller à nouveau dans son sac, elle a maintenant les deux mains libres.
Elle sort un petit objet que je ne peux distinguer.
Sa jupe est légèrement relevée, elle porte des bas, j'en aperçois la dentelle sur le haut de sa cuisse.

Je continue à me caresser lentement, tout en l'observant.
Le divx est nul, je le stoppe.
 
Visiblement, elle s'exécute, glisse ce petit objet (qui ressemble à un bâton de rouge à lèvre) dans sa bouche, et se met à le sucer délicatement.

Elle laisse un filet de bave s’échapper sur l’objet et redescend sa main équipée de celui-ci très rapidement à la hauteur de sa chatte, juste dans l'entrecuisse.

Je me remets à bander comme un cerf, j'ai la queue grosse comme une petite courgette, et là, je me dis que si je lui amenais à hauteur de la fenêtre, elle pourrait peut-être me sucer rapidement puisque visiblement, elle a envie .....
Elle se met à se cambrer pour arriver à se mettre ce petit sex toy, car c'en est un, j'en ai déjà vu dans le catalogue des 3 Suisses dans les chiots à la maison.
Ma femme reçoit ce catalogue et le met dans les chiots, j'adore, car je regarde les femmes d'un certain âge en combinaison et avec leurs gaines qui les affinent et leur donnent un air de sablier.

J'aime ça, je préfère ces pages là, car les petites jeunes en tenue de midinettes ne me font plus bander. J’aime regarder les "vieilles", c'est plus bandant, je me branle souvent devant ces pages. Il y a aussi tout un panel de gode et de sex toy, tous plus excitant les uns que les autres. J’imagine souvent ma femme avec un de ces jouets mais c'est peine perdue, elle ne veut pas en commander un. Aussi, je me branle devant ces chers petits qui ne rentreront jamais chez moi qui ne rentreront jamais en elle.

Ma queue à la main, je  continue à l'observer.

Elle a bien relevé sa jupe, et je constate qu'elle ne porte pas de culotte, sa lumière brûle, elle jette des regards furtifs de temps en temps, elle croit être seule....ou peut être souhaiterait elle qu'un homme la matte?

Elle semble coquine à souhaits, j'ai envie de m'approcher de sa voiture, mais je risquerais de la faire fuir, ma bite est énorme, mes couilles sont pleines, mais je me freine dans l'excitation. Je veux trop profiter de cette scène.

Elle a un regard de cochonne, sûr elle a envie de plaisir, de baise, de bonne bourre de se faire fourrer.

Elle pose le petit sex toy sur sa chatte, l'autre main glisse entre ses jambes, je vois disparaître ses doigts.
Diantre, elle les fourre dans sa chatte alors que le toy joue sur son clito.
Elle est bonne, elle m'excite!
Divin d'observer une femme qui connait son corps, son plaisir car sûr elle le connait !

La lumière du parking s'allume, un couple arrive, ils passent près de nos véhicules, elle ne semble pas perturbée, encore moins effarouchée, elle laisse la lumière de sa voiture, cette femme crève d'envie!
Dans ses yeux, je la sens toute excitée, que dois je faire.....?

Je suis tenté de me glisser hors de mon camion, elle semble en attente, ses lèvres sont pulpeuses, elle passe souvent sa langue dessus, sucerait elle un inconnu?
Et si je passais près de sa voiture, regarderait-elle au niveau de mon bas ventre, verrait elle cette énorme bosse qui tend mon pantalon?

Elle me fait envie cette cochonne au volant de sa petite voiture!

Je remonte mon pantalon, je ne portais pas de slip, car je savais en partant ce matin que je me materai le film de cul et que je me branlerai.

Je l'ai bien observée elle n'a pas encore joui, je me glisse côté passager, afin de ne pas risquer de lui faire peur, j'ouvre délicatement la porte de mon camion, je saute. Je claque tout doucement la porte, je ne prends même pas la peine de le fermer à clé tellement mon envie de sexe est là!
Ma queue remplie mon entre jambe, je sens les coutures de mon pantalon, elles me blessent, mon excitation est grande, énorme devrais je dire.

Je me dirige vers elle, en prenant soin de ne pas l'effrayer, si toutefois une cochonne comme elle puisse l'être.
Je suis devant son pare-brise, elle m'a vu, me regarde, que lit-elle dans mes yeux?
Elle n'a pas peur, m'aurait-elle vu dans mon camion?

Je vois son regard se poser à hauteur de ma bite, elle a des yeux de chaudasse excitée, je suis sûr qu'à cet instant même, elle en veut!
Je ne peux m'empêcher de frôler mon sexe, il est tout dur, dressé dans ce pantalon si serré. Je le caresse à travers celui-ci. Elle m'observe, je sens à ses yeux que je ne lui suis pas indifférent. A cet instant précis, je me demande si elle n'avait pas un rendez vous coquin, dans ce parking? Lui aurait on fait faux bond, à vrai dire, il a bien fait, car mon film de cul je vais l’avoir, en réel, en direct rien que pour moi, en exclusivité totale.

Je me dirige vers elle, me voici à hauteur de sa vitre, je constate qu'elle n'a pas baissé sa jupe, sa chatte est là, tout près de moi, une vitre nous sépare, et je bande comme un âne, je la veux, je veux sa bouche sur mon gland, je veux sentir sa main douce me branler, je veux, je veux.....

Elle a les yeux grands ouverts devant l'ampleur de la bosse qui orne le devant de mon pantalon.

Je vois qu'elle n'a qu'une envie, c'est y mettre la main dedans. Je suis tellement excité de la regarder cette petite pute en train de se masturber dans sa petite auto seule dans ce parking. Oui je suis sur qu'elle avait un rendez-vous, mais pas un rendez-vous coquin, c'était juste un rendez-vous de baise, pure et dure. L'enfoiré ne s'est pas pointé, et elle, qui adore se faire fourrer au nez et à la barbe des passants, n'a pas pu s'en empêcher, et s'est donnée du plaisir.

Je suis toujours devant sa vitre, et me caresse la queue à travers le tissus tout chaud, ça me fait mal au gland presque, je suis sur le point d'éjaculer dans mon Jean's, j'en ai une envie folle, j'ai la bite toute bandée, et c'est un régal. J'adore bander, toujours prêt à enculer tout ce qui bouge, et surtout ce qui a une chatte entre les jambes. J'ai là une belle petite salope à portée de braquemart, et je ne compte pas la laisser filer avant de lui avoir défoncé la chatte et le cul, j'ai une envie, qu'elle baisse sa vitre et qu'elle fourre ma grosse bite tout au fond de son gosier à moitié sec, tellement elle en bave pour se faire mouiller.

Elle n'a de cesse d'essayer de se cracher dans les doigts pour se les coller dans la chatte, et en même temps mouiller son gode pour se l'enfiler dans le trou du cul, quelle belle salope que voilà!

Je tente un coup auquel aucune petite chienne ne peut résister, si c'en est bien une.

J'ouvre les trois boutons de ma braguette, j'enfile ma main difficilement pour attraper ma bite tellement la place restante est petite. Je sors ce gros gourdin prêt à donner des coups de queue dans tout ce qui bouge. Et là je tapote au carreau avec celui-ci.

Elle me regarde, même pas apeurée, je le savais. Elle n'attendait que ça la salope, et je l'avais lu dans ses yeux, la garce! Immédiatement, elle a déverrouillé les portes, restées fermées pour la forme, et a entrouvert la fenêtre en me regardant fixement dans les yeux. Son regard allait de mes yeux, à ma bite et mes couilles sorties pour l'occasion. Elle avait les yeux qui criaient "craches moi dessus mon cochon", ce qui me donnait envie de me branler.

Je commençais à me palucher juste sous son regard de « petite pute  des parkings », car je l'avais nommée ainsi.

J'étais à quelques centimètres de son visage. Mon gland violacé, frôlait sa tignasse, et tapait des fois sur la vitre à demi baissée. C'était hyper bandant. J'étais au bord de l'explosion. Je regardais son visage qui commençait à se pencher de plus en plus en arrière. Elle était sur le point de prendre son pied. Elle avançait sa bouche tout contre ma queue pour essayer de la sucer en même temps qu'elle jouirait la salope. Je reculais un peu pour ne pas lui faire ce plaisir, et j'accélérais mes va-et-vient pour lui mettre tout sur la gueule à la salope. De sa gorge, un râle profond mêlé à des soupirs saccadés s’échappèrent. Je finis par éjaculer sur son visage rejeté en arrière, avec des jets de foutre énormes, je m'étais accroché au toit de la voiture, sans voir que le couple était en train de nous observer.

Ils s’étaient cachés tous les deux et se masturbaient joyeusement à quelques pas de là, les coquins, je les entendais aussi jouir en même temps que nous. Jouissance à quatre, du jamais vécu.

Je lui en ai mis partout sur les cheveux les oreilles, le nez et la bouche également, elle se cambrait pour essayer d'attraper ma queue, je la lui donnai avec plaisir bien sur, car elle l'avait bien mérité la petite chiennasse. Elle me suçait comme personne ne m'avait jamais sucer, me léchant aussi bien les couilles que le membre tout dur encore, le gland plein de sperme tout tiède encore, elle suçait tout ce bon foutre que certaines petites connes ne veulent pas, puisqu'elles ne connaissent pas le goût que ça a.

Elle ne voulait rien perdre et pour cela, m'a demandé de monter à côté d'elle. Je n'avais pas encore entendu sa voix, elle était douce comme les filles qui vous répondent sur les messageries roses.

Elle était très bien élevée visiblement, car le temps que je fasse le tour, de la voiture, madame avait pris de lingettes dans sa boite à gants pour s'essuyer les yeux. Elle me dit que ça lui brûle les yeux avec le maquillage, je rigole, ce qui fait bouger ma bite. Elle se rappelle qu'elle en avait encore à lécher et m'entrepris de suite avec une langue assez vive, et rapide.

Je la laissais faire car c'était très excitant, le couple s'était rapproché pour mieux voir ce qui se passait dans la voiture. l'homme qui était debout prêt de moi au dehors, mettait sa main sur la chatte de sa compagne et la massait énergiquement. Ma petite pute me pompait le dard, j'étais dans un film de cul, c'était trop bandant, j'adorais ça.

L'homme pris sa femme sur le capot de la jolie petite voiture et lui enfila sa queue d'un coup sec dans le cul, on avait la face de la femme face à nous ou plutôt face à moi car ma petite pute était face contre ma bite.

J'étais excité à l'idée de me faire sucer par une petite salope, et regarder une autre petite salope se faire bourriquer le cul par un autre homme juste devant moi, ce qui fit que j'avais redoublé d'intensité au niveau de l'érection;

J'ai demandé à ma compagne de voiture de descendre et de rejoindre le duo à l'extérieur. ce qu'elle fit sans demander quoi que se soit, elle avait l'air surprise car elle n'avait pas vu le couple encore depuis tout à l'heure.

Ca lui a plu de suite, ce quarto du moment. elle me dit de suite qu'elle ne voulait pas échanger de partenaire tellement elle trouvait ma queue trop belle, la garce. Je lui ai dit que moi non plus, je ne voulais pas l'échanger, tellement elle m'excitait, ce n'est pas tout les jours que l'on trouve une petite salope qui aime se branler un peu partout non ?

Je voulais juste la baiser devant un autre couple qui aimait ça aussi, et ce fut chose faite.

Je l'ai attrapé par les cheveux et l'ai appuyé doucement sur le restant du capot, l'autre femme qui en avait déjà plein le cul et c'est peu dire, se poussa un peu pour nous faire une petite place.

Nous étions donc l'un à côté de l'autre pour les faire jouir ces salopes. J'avais toujours la bite au garde à vous, je glissai donc un pouce dans l'anus à ma petite, et commençai à tourner de façon à lui élargir un peu le petit couloir étroit, la petite pastille se dilata doucement au contact de mon pouce. Je le retirai et cracha sur deux de mes doigts pour les lui introduire à nouveau. Elle se mit à jouir aussitôt, ce qui fit sursauter le couple qui travaillait à côté.

Elle était jouisseuse pro on aurait dit, dés que je la caressais elle gémissait, du coup je l'ai pris d'un coup et lui ai enfiler mon gros dard doucement, et jusqu'au fond.

Tellement excitée par le fait de se faire prendre à côté d'un autre couple en pleine action, qu'elle se mit à rouler des grosses galoche à sa compagne de capot. La pute se faisait un plaisir immense à rouler des pelles à sa voisine, c'était jouissif au possible.

L'autre homme m'a regardé et on s'est donné un top départ pour les faire jouir ensemble les deux garces.

On s'est mis à leur donner des coups de boutoirs tellement fort que la voiture commençait à avancer. Elles avaient finis par se lacher la langue, et s'agrippaient à ce qu'elles pouvaient, elles criaient et bougeaient leurs croupes, mais ne pouvaient s'en aller. En même temps elles criaient toute les deux "vas y défonces moi ou nous, ou je ne sais plus", c’était un vrai concert de râle dans le parking.

On a jouis tous en même temps, les filles se sont écroulées sur le capot en bougeant les jambes écartées, et nous, nous nous sommes reculé la bite à la main, pour nous branler et tout foutre sur le dos des femelles qui bougeaient devant nous. On s'est frotté dessus, pendant qu'elles cherchaient nos queues visqueuses de foutre avec leurs mains à tâtons

Elles se sont retournées et se sont mis accroupies toutes les deux, pour recueillir le restant du  précieux liquide qui sortait encore de nos couilles.

Putain de soirée. Ca faisait des années que j'attendais de rencontrer une petite cochonne qui me ressemble trait pour trait. Je pense que l'on va se revoir, elle, la petite salope, et lui, le cochon queutard.

Ce roman est dédié à tout ceux qui ne savent pas ce que veut dire "baiser"