louloute75
Avant de la démonter, et qu'elle me démonte également
C'est ça écartes bien les cuisses |
Profitez du spectacle de ses cuisses bien écartées et branlez-vous tous en cadence. Et un, et deux, et trois, et un ,... mdr
Je vous donne un rdv très bientôt sur sexe911 donc, le temps de "monter" cette petite vidéo, qui, je crois en fera cracher plus d'un et en fera mouiller quelques-une. A ce propos mesdames... aimez vous la queue au point de laisser des coms ? Allons, lâchez-vous, car on le sait que vous regardez les blogs coquins.
Putain, il faut démocratiser le cul comme le golf, y'a encore trop de retenue de la part des femmes
Quelques clichés tirés d'une petite soirée filmée
Cuissardes,bas,corse t porte-jartelles mmmmmhhhhhhh |
Gran Torino
Merci de votre visite.
Juste un petit mot, pour redire que l'on est un couple qui ne se cache pas derrière son petit doigt et qui assume ses délires.
Pleins de bises coquines à tous nos visiteurs.
Gran Torino
C’est en se remaquillant qu’elle nous a tendu les deux tickets de cinéma. Elle ne savait pas ce que ma copine avait projeté de faire ce soir là. Si elle l’avait su, je pense qu’elle en aurait informé
Ma copine était très, comment dire, coquine …
Je l’étais également, mais ce qui allait se passer dépassa tout entendement.
Nous étions très joueurs tous les deux, et nous adorions nous faire des câlins n’importe où et surtout avec n’importe qui à proximité.
Certains pourraient appeler ce genre de pratiques de l’exhibitionnisme, nous, nous appelions ça, « s’amuser » .
On adorait ça tous les deux, on avait envie de tenter un coup de maître tous les deux.
Arrivés devant les panneaux qui donnent le nombre de places restantes dans les salles, je vois qu’une des salles était quasi vide.
Je dis à ma copine :
-on se fait ce film, on sera peinard pour se caresser !!!
Elle me regarde avec ses yeux de chatte en chaleur habituels et me réponds :
- pt’it joueur va !!!
Des mots comme ça me font de suite monter dans les tours et elle le sait la garce
- ok, je lui réponds
« Gran Torino » (restait 27 places sur 500) Demande-t elle à la caissière qui me matait avec une main sous son comptoir.
Je suis sur qu’elle se frottait le minou la salope (ça c’est mon imagination que je n’arrive pas à contrôler des fois).
On était donc sur que la salle serait à son comble au démarrage de la séance, ce qui pimentait notre besogne annoncée.
J’avais envie de la faire jouir avec du monde autour et elle aussi. Nous étions deux petites putes tous les deux. On se délectait dans ce genre d’exercice difficile, à savoir prendre son pied et ne pas choquer les âmes sensibles non plus.
Nous avons pris les tickets et nous sommes allés prendre une consommation au bar, car il nous restait un peu de temps avant la projection.
Ma copine s’est assise devant moi en écartant les cuisses tout de suite. J’en ai été presque surpris, mais je me suis délecté du spectacle qui commençait déjà.
Elle a sorti le gode dont je me servais pour titiller ma prostate, car elle en était tombé raide dingue amoureuse, elle trouvait un point G qu’elle n’arrivait pas à sentir auparavant.
Nous ne causions pas, je matais sa chatte grande ouverte et prête à accueillir ce bel outil bien lisse qu’elle venait de recouvrir d’une fine pellicule de silicone.
Ma respiration devenait de plus en plus forte dans ma poitrine, nous étions un peu à l’écart sous les escalators, et elle en a profité pour se l’introduire d’une main experte en une seule fois.
Ses yeux se sont immédiatement fermés et ses joues se sont gonflées sous l’impulsion donnée à sa chatte.
Elle avait relevé sa jupe et se caressait la vulve de l’autre main, je bandais comme un taureau. Je voulais la baiser là, je l’aurais écartelé d’un seul coup d’un seul, elle aurait crié…
Cette petite pute avait bien calculé son coup et se fit jouir immédiatement. Elle avait cette facilité déconcertante de pouvoir se donner du plaisir partout et à n’importe quel moment.
J’étais heureux à chaque fois qu’elle jouissait. J’adorais voir son visage changer de couleur en un instant, c’était beau et très érotique en même temps.
Nous nous sommes dépêchés pour avoir deux places assez à l’écart tout de même pour ne pas se faire virer du ciné avec la bite à la main et la chatte toute humide lol.
Je ma tait son cul sur l’escalator, comme j’ai l’habitude de le faire pour toute les femelles que je vois monter là-dessus. C’est une technique pour un homme aguerrit, que de savoir prendre l’escalator derrière les femmes.
Tu te mets de côté en bas de ce dernier et tu attends ta proie. Quand tu la crois prête à monter sur celui-ci, tu fais mine de partir dans le sens opposé, et au dernier moment tu fais demi tour, en prenant soin de laisser quelques marches pour avoir assez de recul pour pouvoir avoir un angle de vu sympa.
Donc je matais à n’en plus finir son petit cul sous sa jupe, ce qui fini par me faire encore plus bander. Cette petit poufiasse adorait m’exciter avant d’arriver dans un endroit publique histoire de voir mon paquet de couille et de queue tendu au max à travers mon pantalon.
Elle savait que je n’avais pas mis de slip, ce qui faisait que dans le couloir qui mène à la salle, elle se frottait contre la bosse qui ornait mon devant. La salope qu’elle était n’en était pas à son premier coup d’essaie avec moi, aussi, je lui glissais également un doigt dans le cul, oui dans l’anus d’un coup. Elle ne s’y attendait pas aussi, elle poussa un cri de folie dans le corridor sombre. J’ai tout de suite poussé la porte qui nous séparait de la grande salle toute éclairée.
Elle se trouva toute bête avec toutes ses têtes qui se sont retournées vers elle, et là je me suis bien marré.
- t’es un enculé de première toi, tu vas voir ce que tu vas voir !!!
Je jouissais quand elle me parlait ainsi, et je savais qu’elle allait se dépasser dans les minutes à venir.
Nous nous sommes installés tout en haut de la salle,où il y a des banquettes à trois places,j’étais le dernier au coin extrême, personne ne pouvait être derrière moi ni à ma droite.
Elle s’est assise à ma gauche et il n’y avait personne devant ni sur sa gauche.
La salle se remplissait encore, elle allait bientôt être pleine.
Les sièges de devant nous se sont remplis et le siège à côté de ma copine a été occupé ensuite par une femme d’une soixantaine d’années, son mari ayant pris le siège qui restait devant elle.
Pendant toute cette installation, ma petite femelle en chaleur permanente, s’était amusée à glisser sa mains sous mon pull-over, et se donnait du plaisir en caressant gentiment ma bite gonfler à bloc et qui attendait juste que la lumière s’éteigne pour pouvoir cracher tout le bon jus que ma femelle adorait avaler.
La femme d’à côté faisait mine de ne rien voir mais je savais qu’elle observait du coin de l’œil,ce qui faisait que redoubler mon érection.
Ma copine branlait ce manche dur comme une barre à mine. Elle faisait ça doucement, et en me regardant droit dans les yeux pour que la femme d’à côté comprenne b ien ce qu’elle faisait, « quelle petite pute elle faisait quand même, et provo à mort par-dessus le marché »
La lumière vient à s’éteindre et là je sors mon sexe géant tout de suite,je ne tenais plus et j’avais envie de me branler seul et éjaculer sur son bras, et sa main.
Cette maligne avait son manteau sur les genoux et s’en est servi pour ne pas que la vieille d’à côté aie envie de venir me sucer le dard tellement il était monstrueux,.Elle cachait donc cette bite énorme que j’avais dans la main, et la touchait de temps en temps.
Elle se penchait vers mon oreille en me demandant
-viens , viens mettre tout ton foutre sur me main que je la lèche et que je m’en mette sur le visage, donne moi tout, j’ai envie de te sucer la queue, mais j’ai aussi envie que tu en mette sur mon manteau et mon pull, viens cochon de mâle que tu es, tu es un baiseur hors pair. Fais moi voir ça que tu peux faire là, devant la vieille qui mate…..
Pendant ce temps,je penchais la tête pour voir si la vieille me regardait, ça m’aurait excité qu’elle me regarde me branler la queue, mais je voyais quand la lumière du film éclairait son visage qu’elle était gênée.
Je sentais que mon sperme montait le long de ma verge, et il fallait que je me cambre pour pouvoir cracher la purée sur sa main, ce qui fut fait d’une force de fou, j’en ai mis partout sur le manteau sur sa main, sur mon tee-shirt,…C’était carrément génial, ça dégoulinait le long de son bras. Elle avait retiré sa main et me faisait lécher ses doigts plein de foutre, le mien, je l’aimais depuis qu’elle se le mettait régulièrement au fond de la bouche et qu’elle aimait se l’approprier. Je lui donnais volontiers, je lui avais même fait cadeau de ma bite. C’était comme une donation de mon vivant. J’étais prêt à faire un papier devant notaire en stipulant qu’il fallait donner ce morceau de choix à ma copine en cas de décès.
C’était la personne qui en aurait le plus profiter du fait qu’elle avait été la meilleure baiseuse que je n’avais jamais connu.. C’est vrai qu’on baisait comme des pros, et tout ça proprement et sans aucun tabou.
Après avoir bien joui, je n’en suis pas resté là, ho que non, je me suis tourné d’un quart de poil et j’ai glissé ma main sous sa petite jupe, en tissus tout fin.
Je suis parti d’abord de ses genoux pour remonter entre ses cuisse gainées de ses bas acheté ensemble au BHV. De jolis bas de soie blanc qui font bander les plus vieux hommes qui ne bandent plus depuis des lustres déjà.
J’en raffolais de ses bas,je trouvais ça trop beau t je restais collé quand je voyais une femme en porter.
J’étais un mateur, et ma copine le savait,c’était même elle qui me disait de tourner la tête dans la rue quand je loupais un coup d’œil . Elle avait le chic pour ça,elle regardait toujours ma tête qui tournait sur elle-même quand une paire de jambes passait devant, derrière, sur le côté,….
Je remontais entre ses cuisses, quand la vieille me surprit. Je l’ai regardé droit dans les yeux et lui ai dit de ne rien louper surtout.
-regarde chérie, tu vas voir comment on fait jouir une jouisseuse qui aime les doigts d’un homme
J’ai commencé par lui frotter la vulve toute douce parce que bien épilée, ensuite, j’ai retiré ma main pour cracher dessus et me mettre plein de salive sur les doigts. J’avais encore du sperme sur le ventre que je suis allé chercher avec l’autre main. Ma copine ouvrait de grand yeux comme pour dire « attend y’a la vieille, mmmmhhhhuuuuu… »
Je lui ai mis la main sur la bouche, avec celle qui avait ramassé le sperme. Elle a tout de suite ouvert la bouche pour lécher mes doigts la petite pute,elle était rouge d’envie cette chienne.
Je lui ai dis dans l’oreille
-ferme ta gueule, tu vas jouir devant cette vieille pute et tu vas t’en rappeler ma cochonne
Elle s’es tu direct et a commencé à se caresser la chatte, ce qui me déplu beaucoup. Elle venait de se branler devant moi dans l’entrée la garce, à mon tour donc de fouiller son con.
Je lui ai retiré la main qui était déjà mouille putain,elle ne perdait jamais un instant pour se fourrer les doigts au bon endroit.
Je lui en ai mis un juste après qu’elle senti aussitôt, elle s’est cambrée en regardant la vieille qui n’en loupait plus une miette du coup.
Je la doigtais et lui caressait le clito en même temps,sa gorge était sèche comme à l’accoutumée,aussi elle s’est penchée vers moi en me demandant de la salive, ce que j’avais toujours.
Je lui en ai craché une grosse rasade dans
Monsieur a du se vider les couilles en rentrant je pense, tellement maman avait du mouiller.
Une sacrée soirée ce soir là . On était grimpés haut .
En sortant, nous avons bu un verre, en se regardant avec des yeux coquins.
On était repus tout les deux.
Je l’accompagnais à sa voiture quand une idée me revint.
On en avait beaucoup parlé auparavant, et j’avais envie de concrétiser ce soir là.
Elle avait une toute petite voiture assez récente. Une vraie voiture de femmes. Tout était bien plastiqué et très sensuels.
Mais ce qui m’avais toujours frappé, c’était ce levier de vitesse, tout arrondi et très en forme de phallus.
Les concepteurs , j’en suis sur aujourd’hui, l’avait fait exprès.
J’en avais fait part à ma copine, et elle avait fais la moue en disant que non,c’était pour la prise en main. Et bien non,c’était pour la prise en chatte, que je lui répondais
J’avais envie ce soir là qu’elle se l’enfile devant moi en train de ma branler à l’arrière, et elle me suçant de temps en temps.
Je sais que j’étais gourmand et elle me le fis remarquer. Ce qui n’enleva en rien mon idée de faire la chose ce soir même.
Nous sommes montés dans la voiture et j’ai réussi à la convaincre de s’enfiler ce gros champignon sans aspérité aucune, ce qui ne craignait pas du tout pour son petit minou.
Elle faisait celle qui n’en avait pas envie et à la fois, je la voyais regarder ce gros manche en se disant qu’elle se le mettrait bien quand même ;
J’avais emmené du lubrifiant au ciné, alors je l’ai sorti pour en déposer quelques goutte sur le levier de vitesse,j’ai basculé les sièges de la voiture en me positionnant à l’arrière à califourchon sur ceux-ci.
Ce n’était pas l’idéal comme position mais ça allait quand même, ce qui laissait une place plus grande à l’avant pour une petite scène de spectacle, car c’en était un vrai .
J’avais galéré pour enlever son pantalon, dans la voiture, et j’étais carrément à poil dedans maintenant.
Il faut savoir qu’il y a une sécurité assez importante sur les parking de zones commerciales avec tout ces vols,.
Ha oui, je ne vous l’avait pas dit, mais nous étions sur le parking, loin d’être désert, à cette heure là,ce qui ne faisait que rajouter du piquant à la situation.
J’étais très bien installé avec ma queue bandée à la main quand elle a commencé à se caresser la chatte pour se faire mouiller. Ce fut vite fait, tellement elle était déjà pleine de mouille, la garce.
Elle avait relevé sa jupe et je regardais son entrejambe avec des yeux de cochon. Elle me regardait pour voir ma réaction, ce qui ne gâchait rien à son plaisir tellement elle aimait mes yeux coquins.
La petite cochonne s’est positionnée au-dessus du braquemart en plastique doux et siliconé de surcroît, et s’est laisser descendre doucement dessus. Je devenais fou de jouissances pour elle. J’avais envie qu’elle se prenne un pied de folie en se mettant ce gros machins dans la profondeur de sa chatte, qu’elle se ramone le foune en veut tu en voilà et que je me branle en regardant ce magnifique spectacle.
Putain, jamais peut-être je ne revivrai une telle situation, c’était bandant à souhait. Elle se l’était enfilée jusqu’à la garde et poussait des gémissement de chatte en chaleur, je me branlais juste devant son visage .Comment raconter ça à quelqu’un qui n’a jamais vécu cette scène, c’est digne d’un très beau film de cul.
On était là sans aucun tabou à prendre notre pied sur des envies de notre choix, et qui étaient acceptées et respectées par l’autre. C’est quelque chose qui n’a pas de prix tout ça, c’est beau et c’est bon, en ne faisant de mal à personne et surtout pas à nous. Aucune humiliations de pars et d’autres, que de la bonne baise en gros.
Elle a ré ouvert les yeux et a vu ma bite qu’elle a tout de suite pris dans sa bouche, en la suçant comme une enragée. Je savais qu’elle prendrait un pied du tonnerre de dieu.
Au moment ou elle s’est mise à grimper dans les tours,j’ai senti que mon sperme allait jaillir de mon sexe tendu à mort, je me suis cambré en la regardant jouir comme une folle,elle poussait des cris de femmes en plein bonheur. C’est à ce moment précis, qu’elle a accéléré les va et viens sur mon manche, et là, j’ai tout craché, l’inondant avec plein de semence bien fluide sur le visage, sur les cheveux, son chemisier aussi avait reçu, il y en avait qui sortait à foison, sur les sièges de la voiture aussi,…
Elle adorait ça, se faire arroser de mon foutre, je le savais, elle jubilait et ronronnait après coup, et ce , à chaque fois.
Elle s’en étalait partout où elle le pouvait, elle s’était même mis à lécher les sièges,pour ne pas en perdre une miette,ou une goutte plutôt. Je l’ai repris par les cheveux pour qu’elle m’astique la bite, car il y en avait encore qui sortait de ce petit trou qui la rendait heureuse. Une fois tout les outils propres, nous avons repris nos places, la voiture était pleine de buée, nous avons fait quelques dessins sur les carreaux en rigolant comme des tordus
Mesdames, messieurs, ce récit est vrai, aussi, je vous invite à laisser derrière vous toute cette éducation qui consiste à vous enfermer dans des principes qui ne valent pas un pet de lapin.
Caressez-vous, donnez-vous du plaisir, ce n’est que du bon tout ça.
Louloute75
Balade en forêt
Nous avions décidé avec mon ami de se donner rendez-vous en forêt à 13h afin de ne pas croiser de promeneurs avec leurs enfants.
Il était convenu de ne pas se parler, faire comme si nous ne nous connaissions pas, afin de ne pas éveiller la curiosité des conducteurs qui sont toujours sur les parkings à guetter le va et vient aux abords des forêts, nous étions en région parisienne.
Je portais une petite jupe blanche, un peu haut de la même couleur, et de très beaux escarpins à talons.
Il faisait un temps superbe, une douce chaleur régnait.
J'étais à l'heure, je dois même avouer que j'avais quelques minutes d'avance, pressée de me retrouver dans cette forêt.
Ma voiture garée, je constatais que son camion n'était pas encore là. Il était joueur, je savais qu'il serait en retard, peut être jubilait il de me savoir en "proie" aux regards de ces hommes qui restent des heures à guetter la moindre voiture, la moindre femme seule?
Deux voitures avec leur chauffeur étaient stationnées.
J'ai aussitôt senti leur regard se poser sur moi.
L'un d'eux sortit de celle-ci, se dirigea vers son coffre l'ouvrit, et le claqua aussitôt, je pense qu'il voulait mieux voir ce que je faisais.
J'attendais impatiemment mon copain.
J'avais décidé de ne rien porter sous ma jupe, il faisait chaud, je sentais entre mes jambes la moiteur m'envahir, était-ce uniquement la chaleur ou l'envie qui montait?
Un bruit de moteur diesel, cela ne pouvait être que lui, regard dans mon rétroviseur, il arrivait. Son camion stationné, je pris le temps de descendre de la voiture.
En l'ignorant je me mis à marcher en direction de
J'entendis une porte claquer, j'espérais qu'il allait me suivre, même à distance, mais deux autres portes claquèrent à leur tour, cela me fit sursauter.
Je m'avançais de plus en plus dans la forêt, je sentais que l'on me suivait, je n'osais pas quitter le chemin, je décidais de ne pas me retourner.
Mes sens étaient en éveil.
Je sentais des pas se rapprochaient de moi, mon cœur tapait dans ma poitrine.
Je décidais de quitter le chemin, et malgré mes jambes nues, je me glissais dans les fourrés.
Mes talons s'enfonçaient légèrement dans le sol, les branches, les ronces, véritables obstacles qui en auraient fait reculer plus d'une, pas moi, je voulais jouer!
Une branche craqua derrière moi, j'eus le courage de me retourner, un homme me suivait, mais mon copain m'avait contourné et arrivait face à moi.
L'homme disparut. Je me dirigeais vers lui, je l'embrassais, il était moite, une bonne odeur de mâle en rut, comme j'aime. Je me frottais à lui, je sentis cette délicieuse bosse entre ses jambes qui gonflait violemment.
Le lieu nous excitait, l'homme semblait loin de là.
Il souleva ma jupe, et constata que ma chatte était trempée.
Une envie folle m'envahit de libérer son sexe de son carcan.
Il portait un short, je glissais ma main, et là, après avoir lécher mes doigts je commençais à jouer avec son gland.
Il m'ordonna de m'accroupir, et de lécher sa queue, en réalité j'adorais le pomper, sa queue énorme envahissait ma bouche.
Il guidait ma tête en m'agrippant par les cheveux....et je le branlais avec ma bouche tout en prenant soin de caresser ses couilles.
Je relevais la tête quelques instants, et, derrière un tronc d'arbre j'aperçus l'homme de tout à l'heure. En réalité, il était resté là et nous observait. Divine sensation d'être mater par un autre homme, que dis je deux hommes, un autre se tenait pas loin de lui aussi.
Leur manche à la main, ils se branlaient, leurs yeux vivaient la situation, leurs queues gonflaient sous leurs doigts.
Quel spectacle! Oseront-ils se rapprocher de nous, pour nous mater de plus près, je ne les aurai pas invités, mais j'en rêvais.
Cette situation nous excitait, mon copain me redressa, et souleva ma jupe, me poussa contre un tronc d'arbre et d'un seul coup m 'enfila profondément sa bite énorme dans le cul.
Surprise, j'échappais un cri, puis je me mis à gémir, j'avais envie de jouir comme jamais, de voir ces deux mecs maculer le sol de leur foutre.
Puis il se retira, et se mit à me lécher la chatte, les hommes se branlaient toujours, ils s'étaient rapprochés, je pouvais croiser leurs regards, en quelque sorte je les narguais, je les provoquais, je suis sûr qu'ils avaient envie de ma chatte, de mon cul, de ma langue.
Tout en me léchant, mon copain sortit un gode, je n'en pouvais plus, j'étais excitée comme une chienne en chaleur, je gémissais, le suppliais de me faire jouir, de tout me faire, j'étais en transe.
De prendre mon pied tout en matant ces mecs, quel délice, j'imaginais que je suçais leurs grosses queues, que je les pompais à tour de rôle, qu'ils réclamaient ma bouche.
- "Viens petite salope, pompe nous, prend de la queue, tu en veux, allez suce, branle nous dans ta bouche, chiennasse....on va t'inonder de foutre comme une pute, tu en veux, alors prends en...., partout tu vas en avoir, sur tes seins, dans ta bouche, et tu avaleras tout!"
Alors je me mis à lécher le gland de mon copain, tout en les regardant, vous savez, avec un regard de pute, oui je jouais à la pute, ma langue glissait sur son gland, je crachais dessus, mon regard ne les lâchait pas. Ils étaient à
Je voulais les voir gicler en même temps que celui que je pompais, celui à qui je voulais donner ce plaisir.
Tout en me godant la chatte, je lui bouffais sa bite, son souffle s'accélérait, de sa gorge un cri de bête s'échappa, puis quelques râles et je fus délicieusement remplie de sa jouissance, tout en toisant les mecs, j'avalais le foutre que j'attendais.
Leurs queues encore tendues avaient craché!
Je voulais vivre cette situation, je la conseille à tous les croqueurs de la vie, de la baise, et de la nature....
Elle aime me faire bander, la petite salope, mais j'adore attendre, qu'elle se fasse mouiller avant.
Bien bandant ses cuissardes! |
Lire les commentaires textes
Un veritable bonheur votre blog
Bisous
Slave DG
Les femmes sans retenu sont rare non!
Superbe ma jolie avec ce vibro si bien placé
bisous
Contente que cela vous plaise, que cela vous excite....régalez vous, d'autres images viendront prochainement...bises coquines Loute
Bonjour Lou et Loute.
Bravo pour cette très jolie série torride et merci pour votre sympathique commentaire lors de votre passage sur notre blog.
Bises à vous
Angèle et Yves
belle chatte bien lisse comme nous les aimons, un régal !